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25.12.05
Le vrai Brésil
Dimanche 26 décembre 2005 après la plage et la siesteTout d’abord, bonjour à la famille Bernier and Cie qui vient de nous rejoindre sur ce blog.
Ensuite question qui devrait je pense être la 5 ou 6 ème : Qu’est-ce qu’un Rapaz au Brésil ?
Enfin et avant de reprendre le récit de notre voyage, je vous envoi un Félis natal (orthographe non garantie).
Nous en étions resté à la sortie du bas détourné et à la recherche d’une posada. Nous avons donc repris la route en espérant avancer un maximum afin de nous rapprocher le plus possible de notre but ultime (du moins celui de Benoît : Eliane (ce que cela ne vous fait pas faire quand même l’amour !!). Eh bien ce sera loupé pour ce jour là. En effet, nous avons pris des routes qui n e portait que le nom de route. De l’asphalte bourrée de trous plus gros et plus profond les uns que les autres. A tel point que nous nous sommes relayés plusieurs fois au volant du Troler tellement nous étions fatigués par la conduite. Même les pauses bière ont été abandonnées. Une seule pensé, trouver une posada, manger et dormir. Nous avons pris des routes de plus en plus petites et de plus en plus mauvaises. Enfin, alors que la nuit était tombée, nous avons atterrie au fin fond du Brésil, dans un village sur une route en cul de sac. Là ; il y a avait le choix entre une posada de type rustique et …. rien ! Imaginez, une maison de type rural des années 20 avec des gens charmant dedans mais une douche dans les WC, une chambre plaine de moustiques, des moustiquaires à trous, de l’eau filtrée pour boire, mais une évidente bonne volonté pour nous servir. Nous avons demandé une caipi pour nous changer les idées et là incroyable mais vrai, il n’y avait pas de caipi ! C’est la seule posada du Brésil qui n’a pas de caipi !! Nous avons donc été à l’épicerie acheter de l’alcool. Nous avons découvert une boutique superbe ! Terre battue, balance à l’ancienne sans même d’écran de lecture, une aire de vente immense pour que les gens discutent sans se gêner les uns les autres et surtout pendant notre présence, l’épicier à vendu par deux fois des épices. Il a pris plusieurs épices qu’il a mélangés dans un grand plateau sur la balance et mis tout cela dans un papier kraft. Le brésil profond vous dis-je ! Bon, nous nous étions là pour notre bouteille, et c’est la fille de l’épicier qui s’est occupée de nous, vous savez, celle que tous les mecs le soir attende à la fermeture de l’établissement. Nous avons joué les gentlemans français et avons-nous même descendu de tout en haut la bouteille promise qu’il a fallu dépoussiérer. C’est preta, la fille de la maison qui nous a préparé la caipi. Il faut dire, que nous avons vu défiler toute la famille, les amis, le photographe du village et même les autres sans savoir qui c’était !
Le soir Benoît m’a donné un cours pour dormir sous une moustiquaire. Grand moment de ma vie !! Il faut se glisser sous la moustiquaire alors que l’on ai déjà dans le lit. Bah oui, mais quand c’est Benoît, ça marche pas ! Bref, j’ai accroché la moustiquaire au quatre coins du lit de Benoît et bonne nuit ! Moi je suis sortie sur la place du village écouter de la musique parmi les habitants du village autour d’une télé couleur mise à disposition de tous par le cafetier. Les jeunes eux, en dehors de lorgner vers la fille de l’épicier qui était sous l’aile protectrice du père, jouaient au billard américain (je pense que c’est son nom, c’est celui à plusieurs boules de couleurs). Question 6 : Donnez le nombre de boules et leurs couleurs pour jouer à ce billard, et pour le fun, donnez les grandes lignes des règles du jeu.
Le lendemain matin, nous nous sommes rendu compte que notre jauge à essence (gasoil) était bien basse et avons demandé ou était le posto (en brésilien dans le texte). Et là surprise, il n’y an a pas ! Mais pas de problème on va vous en trouver, il y a justement sur la place du village le bus qui est là, il suffit d’en siphonner quelques litres, de payer et le tour est jouer. Au Brésil quelque soit le problème il y a toujours une solution et toujours des gens pour s’occuper de vous (nous avons même trouvé ce jour là un propriétaire de Troler pour nous rassurer sur un bruit anormal de notre véhicule).
Ce jour là, nous avons quitté sous un soleil de plomb l’état du Minas Géras et celui de Bahia pour entrer dans le Piaui. Question 7 : Donnez la description des drapeaux de ces trois états, le nombre d’habitants et les capitales.Le Piaui est un état de réputation pauvre, aride et un peu en retrait par rapport à tous les autres états du Brésil. Et bien pour nous, c’est la plus beau, le plus propre et surtout celui ou les routes sont normales. Nous l’avons surnommé la Suisse du Brésil. Seul la Capital dont vous avez trouvé le nom est peu accueillante et même décevante. Que de beaux paysages. Vous imaginez des montagnes de type « vallée de la mort » mais avec de la végétation, des animaux, un ciel bleu et des points de vue sur des kilomètres à vous couper le souffle. Une merveille à connaître absolument si vous venez au Brésil.
Nous avons terminé cette journée en passant dans l’état du Maranao sous un orage tropical et sur une route ou j’ai bien cru vivre plusieurs fois mes derniers instants tellement mes copains routiers brésiliens s’en sont donnés à cœur joie. Nous ne prendrons plus la route la nuit jusqu’à la fin de notre voyage. Nous avons fini la première partie de notre périple le vendredi soir en ayant parcouru 3.500 kilomètres heureux de notre périple et même un peu fier de nous et de notre copine Garmina dont je vous parlerai bientôt.
Je vous laisse nous allons à la piscine et nous rafraîchir au ….. hammam. Au retour, je vous raconterai notre vie à Sao Luis, réveillon de Noël et les spécialités gastronomiques.
Ensuite question qui devrait je pense être la 5 ou 6 ème : Qu’est-ce qu’un Rapaz au Brésil ?
Enfin et avant de reprendre le récit de notre voyage, je vous envoi un Félis natal (orthographe non garantie).
Nous en étions resté à la sortie du bas détourné et à la recherche d’une posada. Nous avons donc repris la route en espérant avancer un maximum afin de nous rapprocher le plus possible de notre but ultime (du moins celui de Benoît : Eliane (ce que cela ne vous fait pas faire quand même l’amour !!). Eh bien ce sera loupé pour ce jour là. En effet, nous avons pris des routes qui n e portait que le nom de route. De l’asphalte bourrée de trous plus gros et plus profond les uns que les autres. A tel point que nous nous sommes relayés plusieurs fois au volant du Troler tellement nous étions fatigués par la conduite. Même les pauses bière ont été abandonnées. Une seule pensé, trouver une posada, manger et dormir. Nous avons pris des routes de plus en plus petites et de plus en plus mauvaises. Enfin, alors que la nuit était tombée, nous avons atterrie au fin fond du Brésil, dans un village sur une route en cul de sac. Là ; il y a avait le choix entre une posada de type rustique et …. rien ! Imaginez, une maison de type rural des années 20 avec des gens charmant dedans mais une douche dans les WC, une chambre plaine de moustiques, des moustiquaires à trous, de l’eau filtrée pour boire, mais une évidente bonne volonté pour nous servir. Nous avons demandé une caipi pour nous changer les idées et là incroyable mais vrai, il n’y avait pas de caipi ! C’est la seule posada du Brésil qui n’a pas de caipi !! Nous avons donc été à l’épicerie acheter de l’alcool. Nous avons découvert une boutique superbe ! Terre battue, balance à l’ancienne sans même d’écran de lecture, une aire de vente immense pour que les gens discutent sans se gêner les uns les autres et surtout pendant notre présence, l’épicier à vendu par deux fois des épices. Il a pris plusieurs épices qu’il a mélangés dans un grand plateau sur la balance et mis tout cela dans un papier kraft. Le brésil profond vous dis-je ! Bon, nous nous étions là pour notre bouteille, et c’est la fille de l’épicier qui s’est occupée de nous, vous savez, celle que tous les mecs le soir attende à la fermeture de l’établissement. Nous avons joué les gentlemans français et avons-nous même descendu de tout en haut la bouteille promise qu’il a fallu dépoussiérer. C’est preta, la fille de la maison qui nous a préparé la caipi. Il faut dire, que nous avons vu défiler toute la famille, les amis, le photographe du village et même les autres sans savoir qui c’était !
Le soir Benoît m’a donné un cours pour dormir sous une moustiquaire. Grand moment de ma vie !! Il faut se glisser sous la moustiquaire alors que l’on ai déjà dans le lit. Bah oui, mais quand c’est Benoît, ça marche pas ! Bref, j’ai accroché la moustiquaire au quatre coins du lit de Benoît et bonne nuit ! Moi je suis sortie sur la place du village écouter de la musique parmi les habitants du village autour d’une télé couleur mise à disposition de tous par le cafetier. Les jeunes eux, en dehors de lorgner vers la fille de l’épicier qui était sous l’aile protectrice du père, jouaient au billard américain (je pense que c’est son nom, c’est celui à plusieurs boules de couleurs). Question 6 : Donnez le nombre de boules et leurs couleurs pour jouer à ce billard, et pour le fun, donnez les grandes lignes des règles du jeu.
Le lendemain matin, nous nous sommes rendu compte que notre jauge à essence (gasoil) était bien basse et avons demandé ou était le posto (en brésilien dans le texte). Et là surprise, il n’y an a pas ! Mais pas de problème on va vous en trouver, il y a justement sur la place du village le bus qui est là, il suffit d’en siphonner quelques litres, de payer et le tour est jouer. Au Brésil quelque soit le problème il y a toujours une solution et toujours des gens pour s’occuper de vous (nous avons même trouvé ce jour là un propriétaire de Troler pour nous rassurer sur un bruit anormal de notre véhicule).
Ce jour là, nous avons quitté sous un soleil de plomb l’état du Minas Géras et celui de Bahia pour entrer dans le Piaui. Question 7 : Donnez la description des drapeaux de ces trois états, le nombre d’habitants et les capitales.Le Piaui est un état de réputation pauvre, aride et un peu en retrait par rapport à tous les autres états du Brésil. Et bien pour nous, c’est la plus beau, le plus propre et surtout celui ou les routes sont normales. Nous l’avons surnommé la Suisse du Brésil. Seul la Capital dont vous avez trouvé le nom est peu accueillante et même décevante. Que de beaux paysages. Vous imaginez des montagnes de type « vallée de la mort » mais avec de la végétation, des animaux, un ciel bleu et des points de vue sur des kilomètres à vous couper le souffle. Une merveille à connaître absolument si vous venez au Brésil.
Nous avons terminé cette journée en passant dans l’état du Maranao sous un orage tropical et sur une route ou j’ai bien cru vivre plusieurs fois mes derniers instants tellement mes copains routiers brésiliens s’en sont donnés à cœur joie. Nous ne prendrons plus la route la nuit jusqu’à la fin de notre voyage. Nous avons fini la première partie de notre périple le vendredi soir en ayant parcouru 3.500 kilomètres heureux de notre périple et même un peu fier de nous et de notre copine Garmina dont je vous parlerai bientôt.
Je vous laisse nous allons à la piscine et nous rafraîchir au ….. hammam. Au retour, je vous raconterai notre vie à Sao Luis, réveillon de Noël et les spécialités gastronomiques.