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14.1.06

Souvenirs cuisants


Le texte ci-dessous est l'oeuvre de Benoît et n'engage en rien l'auteur de ce blog !

Claude vous a parlé de toilettes communes, lieu de souffrance dans lequel il a du œuvrer pour la bonne cause !!!!! Vous avez ci-contre la photo du coupable : un urinoir et une séparation pour cacher ce moment pendant lequel nous sommes tous égaux, du mendiant au pape lui-même, en passant par tous les financiers, politiques etc …..qui nous tondent la laine sur le dos….sans aucune vergogne. Bon, mais revenons à nos moutons (si j’ose dire) et vivez, chers amis cet instant pendant lequel notre ami a été désarmé, nu, et la peur au ventre que quelqu’un rentre et lui dise : bom dia !!!! pendant qu’il souffrait le martyre……Vous le connaissez, j’ai du le réconforter, le prendre sur mon épaule, le reconstruire, le materner ( mais pas le sein) et dédramatiser une fonction naturelle, qui finalement, faite à plusieurs, pourrait être plus sympa, moins monotone. Imaginez le dialogue, l’un sur le siège l’autre à l’urinoir : bonjour, ça va ? Oui, j’ai quelques soucis avec les fruits de mer d’hier mais tout va bien, le papier peut être un peu léger, mais avec 3 épaisseurs….et toi ? Moi c’est les asperges, ah, cette odeur quand tu urines, j’adore, mais le tuyau d’eau est percé et cela me mouille le pantalon, tout le monde va croire que j’ai fait dans ma culotte…..bon, à la prochaine !!!!!
A suivre

10.1.06

Album photos








Pour les 600 autres photos, soit vous passez en ADSL avec un micro super puissant, soit vous venez me voir à la maison, et je vous montrerai!

8.1.06

Sao Paulo=> Paris


Aéroport de Sao Paulo le samedi 7 janvier

Bon, déjà pas de Wi Fi en accès libre dans cet aéroport. Je vais donc écrire ce texte et le mettre en ligne à mon arrivée.

Si je devais faire une synthèse de ces vacances, je dirais en un seul mot : Etonnement.

C’est la première fois que je visite un pays dans de telles conditions. Il a fallu bousculer mes habitudes, s’ouvrir à une autre culture, accepter une autre relation avec le temps. Je m’explique. Ici tout le monde à le temps pour tout faire. Pas de priorité, pas la peine de demander à passer avant les autres, etc. Vous faite la queue, vous attendez et surtout ce qui est impensable pour un français, vous ne resquillez pas en essayant de gagner 3 ou 4 places à la caisse ou à l’enregistrement d’un voyage.

Mais il y a quand même plusieurs situations qui m’ont plus que désarçonné ! La première, ce qui n’étonnera personne en France, c’est les toilettes communes. Vous imaginez une pièce avec plusieurs urinoirs et sur le côté, ou au milieu un ou plusieurs sièges pour satisfaire des besoins plus conséquents. Vous avez bien compris, il y a au mieux une cloison pour cacher une partie de l’action et au pire rien du tout. Et bien ça marche, les gens y vont. Moi pas. Donc, en cas d’utilisation prière de faire tenir la porte d’entrée de la pièce commune par votre coéquipier et d’interdire l’entrée aux autres. Très européen comme attitude, mais tant pis ! Il y a des fois ou c’est quand même difficile de faire preuve d’ouverture !!

Autre sujet d’étonnement, le deuxième aéroport de Sao Paulo. Situé en pleine ville (imaginez un aéroport à la Bastille), les avions atterrissent entre les tours et passe au dessus des maisons sans à très basse altitude. La première fois que je suis venue à cet aéroport, lors du premier passage, j’ai baissé bêtement la tête ! Rire gras et stupide de Benoît. Ah depuis qu’il a vieilli, il se contente de peu pour rire celui là !! Mais la surprise ne s’arrête pas là. Pour prendre leurs envoles, le bout de la piste est juste à côté du boulevard (fin du boulevard Richard Lenoir pour continuer la comparaison). La piste est en surplomb par rapport à la route, les ailes gauches des avions passe au dessus du boulevard. Non, non, je n’avais pas bu de caipi à cette heure là !! C’est du vécu !!

Troisième sujet d’étonnement , c’est la service dans les restaurant et les hôtels.. Ils sont toujours attentifs et disponibles aussi bien avec vous qu’avec les enfants. Hier soir nous avons été dans un très bon restaurant de viande de Sao Paulo, les serveurs sans être toujours à côté de vous étaient toujours présents, prêt à vous changer une assiette, changer les plats devenus trop froids, apporter des plats pour Camila, occuper Camila pour laisser manger les parents, moucher Benoît, etc. Nous avons mangé de la viande succulente, suite en style barbecue, avec un buffet d’entrée des plus fameux Nous étions dans une churascaria de premier ordre. Quiconque vient au Brésil, doit obligatoirement passer par une churascaria. C’est divin !

Etonnement toujours devant les religions. Religion officielle, religion « privée », religion du corps, religion du foot bal, religion de la nation Brésil. Les brésiliens sont apparemment des passionnés. Il faut voir les prêches à la télévision, dans les églises, dans des halls. Il faut voir, toutes les images du Christ, de la Sainte Vierge et de tous les Saints dans les maisons, les magasins, sur les voitures. Il faut lire toutes les inscriptions sur les camions et les bus (bon là, vu leur façon de conduire, il y a du boulot en haut pour les garder en vie quand même !). Ils faut les voir courir en fin de journée, faire de la marche ou des étirements pour garder la forme. Bref, des passionnés !
Tiens ils mettent notre avion en place. Embarquement dans une heure.

Etonnement enfin, devant l’état des routes de l’état de Bahia. Quand je vous dis qu’il y a des trous, n’imaginez pas des petits trous ! Non c’est réellement de gros trous de plus d’un mètre de diamètre et parfois de plus de 50 centimètres de profondeur. Des trous capables de faire renverser un chargement de camion, à faire éclater des pneus de voiture, voir de camion ou de bus. Incroyable et super dangereux, surtout lorsqu’ils sont en haut des côtes.

Ce pays me fascine, m’interpelle et m’attire de plus en plus. Et pourquoi pas le dire, mais les filles ici font tout pour se faire remarquer et ça marche !!

Vous comprenez à la lecture de ce texte, que je retournerai certainement très vite visiter une autre partie du Brésil.

En attendant, je voudrais remercier Benoît, Eliane et Camila pour leur accueil et les féliciter d’avoir supporter mes blagues pas toujours de bon goût. Bon il faut dire que celles de Benoît ne sont pas meilleures.

Un dernier souhait de Claude et Benoît, prendre un jour l’avion entre la France et le Brésil ensemble. Eliane accroche toi ce jour là, ou prend l’avion d’avant !

Bien l’embarquement est imminent, j’arrête là ma prose et vous donne rendez vous pour d’autres articles lors de prochains voyages


Aéroport de Roissy le dimanche 8 janvier

Bon, il faut bien le reconnaître, ce n’est pas le même temps. J’ai perdu plus de 20 degrés en une nuit. Ceux qui me connaissent, se doute que je préfère de loin le temps brésilien.

J’ai une requête à faire. Si quelqu’un parmi vous connaît un responsable d’Air France, peut il lui passer le message suivant : Pouvez-vous SVP faire descendre les passagers long courrier directement dans l’aéroport par une passerelle directe. A chaque fois que je rentre du Brésil, il faut descendre sur le tarmac en plein vent, voir en pleine pluie, faire le tour de l’aéroport et attendre un certain temps, voir un temps certain pour retirer les bagages. Sans compter que plusieurs personnes (brésiliennes en générale) étaient en tee short et grelottaient même dans le bus. Qui dans les bureaux d’Air France, aura l’intelligence de se dire qu’après près de 12 heures de voyage, il est normal d’être traités différemment sur les aéroports parisiens ?. J’espère que les ricanements des passagers parviendront aux oreilles des responsables d’Air France !!!!!

Ps; j'ai un coup de barre : je dors

6.1.06

Statistiques

Premiers éléments statistiques :

Plus de 8.000 kilomètres en 18 jours
4 types de pistes (terre, sable, eau et trous)
3 bateaux

8 états (Sao Paulo, Rio de Janeiro, Minas Géras, Bahia, Piaui, Maranhao, Pernanbuco, Espirito Santo) et 7 capitales (Sao Paulo, Rio,Bel Horizon, Teresina, Sao Luis, Salvador, Vitoria). Trouvez celle qui manque !

2 serpents écrasés
9854 papillons morts sur notre pare brise
300 moustiques ont piqué Claude
400 moustiques sont morts (300 par empoisonnement et 100 par coups de torchon)
20 carcasses d animaux morts sur la route (au moins) du bovin en passant par l âne, les chiens et autres bêtes non définissables

100 bouteilles de bière de 75 cl (une préférence pour Skool)
25 caipis soit un litre de cachaça et 25 citrons
1 bouteille de vin brésilien

2 coups de soleil (un par personne)
0 nana pour les deux
1 short pour Benoît (sale)
3 shorts pour Claude (propres)

5 accidents sur la routes (pas nous mais les autres)
2 contrôles musclés de flics (inoubliable, marquant à vie)
Une multitude de pneus éclatés sur la route

A compléter : le nombre de litres de diesel et le nombre d heures de 4X4

1 blog Politis en travaux actuellement

100% d harmonie entre nous !!!

et une grande envie de recommencer dans un autre coin du Bresil avec Eliane (Non !!! Benoit ne rajoute rien me concernant Merci !).

Salvador, Rio, Resende

Vendredi 6 janvier avec un clavier portugais

Bon autant le dire de suite, ces deux derniers jours ont été plutôt pénible. De la route, de la route, de la route !!!! 1500 kilomètres de route, de trous, de camions, de bus.

Au départ de Bahia, nous avons pris un bac pour gagner environ 150 kilomètres, mais voila, il a fallu attendre pour l embarquement et nous avons perdu beaucoup de temps.

J ai vu des caféiers, des avocatiers, des autruches, des maracoujatiers et toujours des eucalyptus.

Arrivée à Rio, nous avons eu un accueil spécial de la police. Il faut dire que la voiture attire l oeil et en plus quand il y a un contrôle, il faut éteindre les phares. Nous il était 2h du matin, nous étions tous phares allumés (6 gros phares style camion. Pour la première fois de ma vie, je me suis retrouvé en ligne de mire de mitraillettes et de pistolets, directement dirigés sur ma petite personne. Avant l arrêt je somnolais, à ce moment là, j étais complètement réveillé. Toujours le même scénario, ; Eteignez le moteur, descendez de la voiture etc. Bon, si un jour vous venez á Rio, ne pas mettre plein phare dans les yeux de la police, ils aiment pas ! Heureusement Benoît a un accent à couper au couteau (pourvu qu il ne lise pas, sinon il va être vexé), et moi déjà que mon portugais n est pas bon, mais là il était inexistant. Nous faisions donc bon touristes français, et dans ces cas là, ça aide quand même. Ouverture, du coffre, palabres, leçon de moral pour les phares, demande d explication nous concernant et publicité de Benoît pour notre séjour au Brésil dans le nord.

Retour à Resende vers 3h du matin.

Bon, je vous laisse, je vais préparer mes bagages et pense reprendre le clavier demain dans l avion pour un dernier article et les conclusions de ce raid au Brésil. Nous avons préparé un inventaire à la Prevert de notre séjour.

Ps ; 1000 excuses pour les accents et les apostrophes mais je ne m en sors pas ce clavier (les fautes d orthographe sont aussi à cause du clavier !!!!).

3.1.06

SALVADOR DE BAHIA

Mardi 3 janvier en fin de journée
Deuxième message de la journée (voir ci-dessous)
Ah Salvador de Bahia ! Un rêve depuis des années !

Pour moi c’est la ville de Gorgio Amado (liste des ouvrages sur demande), celle des traditions brésilienne, des multiples dieux, bref c’est une ville à voir.
Un peu d’histoire : Les colons voulaient mettre la population locale au travail. Impossible, comme je l’ai déjà indiqué cela n’était pas dans la culture des indiens d’Amérique du sud. Il fut donc décidé d’organiser un marché aux esclaves, en déracinant des êtres humains d’Afrique vers les côtes brésiliennes (entre autre). Les courants de l’atlantique permettaient de faire partir des bateaux entiers des côtes d’Afrique et d’accoster directement à Salvador de Bahia. C’est une des raisons qui expliquent que la population de Salvador de Bahia est constituée de 70% de noirs (comme je l’ai déjà écrit sur ce blog, au Brésil, le mot Noir n’est pas péjoratif). C’est v rai que sur les plages et dans les rues, la population est majoritairement de couleur. Nous avons visité plusieurs musées qui font tous référence à l’esclavage et aux tortures et punitions de cette époque. L’esclavage fait partie intégrante de l’histoire du Brésil

L’état de Bahia fut un des premier à proclamer son indépendance et à foutre dehors les portugais Il s’en suivi une bataille mémorable ou les portugais, bien qu’en sure nombre durent plier bagages. Pourquoi ? Et bien tout simplement, le quidam chargé de sonner la retraite des brésiliens qui étaient en train de perdre, à décidé de sonner la charge de la cavalerie et ce à plusieurs reprises. Les portugais ont cru qu’il s’agissait de nombreux renfort et on plié bagage en vitesse. A c’est des victoires qui me plaisent. Depuis ce sonneur de trompette est devenu un héro national

Salvador de Bahia, ville d’environ 3 millions d’habitants est la capitale de l’état. L’Etat de Bahia compte environ 14 millions d’habitant. Lorsque vous arrivez à Salvador, toutes les collines sont remplies de maisons en briques rouges et aux façades multicolores.

Au milieu de la ville, il y a un grand bout de béton qui doit accueillir un jour un métro aérien. J’ai bien dis un jour !!

Il y a dans cette ville 165 églises. Afin de continuer mon initiation à la religion, nous en avons visité quelques unes. La plus célèbre et la plus « belle » est celle de Sao Francisco. Une église recouverte complètement de feuille d’or. Style Baroque excessive. En dehors de tout cet or, il y a du carrelage (peu puisque de l’or partout) ma foi (c’est le moment de le dire) fort jolie. Quand on voit cela et que l’on connaît les problèmes de faim au Brésil, on ne peut ressortir qu’en colère. Notre chauffeur de taxi (un copain maintenant) nous a appris que chaque fois que l’église brésilienne fait des travaux dans une église, elle doit verser 10% du prix des travaux au Vatican. GRRRR !!! Il coûte cher le poil à fumée blanche de Benoît 16 ! C’est peut être pour cela que toutes les entrées d’églises sont payantes à Salvador !! GRRRRR !!

Dernier point concernant Salvador de Bahia, c’est la vétusté des maisons du quartier ancien. On se demande comment les immeubles tiennent encore debout ! Peut être grâce aux câbles électriques qui vont de maisons en maisons, de transformateurs en poteaux, bref qui sont plus que visible.

Après cette visite, nous avons été sur la plage avec notre copain taxi et regardé le paysage (comprenne qui voudra !!).

Sao Luis => Salvador de Bahia, une route inoubliable

Salvador de Bahia le 3 janvier au matin

Nous sommes maintenant dans la phase finale de notre voyage. Nous sommes partis de Sao Luis dimanche matin vers 7h00 (un premier janvier quand même !!) et direction le sud (ici le sud, cela veut dire plus frais et plus de pluie).

La route c’est bien passée (pas trop de camion, arrêt bière, veaux, vaches, cochons, papillons, ânes, chevaux, photos, caméra, diesel commun etc.) bref la route quoi !!

Le soir nous avons couché à Picos, une petite ville dans le centre du Piaui, pas très grande et surtout sans beaucoup d’animation. Au lit à 20h30 et dodo immédiat !

Le matin nous avons été réveillé par un coup de tonnerre à réveiller tous les morts du Brésil depuis 3 générations. Coup de tonnerre suivi évidement par une pluie tropicale, mais maintenant nous avons l’habitude (vent, rideau de pluie chaude, séchage immédiat).

Ce jour là,nous devions emprunter une route marquée sur la carte comme « Route présentant de forts risques d’attaques » On ne peut plus engageant quand même. Imaginez une carte Michelin indiquant la route entre Antibes et Vallauris indiquant, « Route présentant de forts risques d’attaques ». Bon vous allez me dire que c’est honnête de le signaler, mais quand même !! Nous en étions là dans nos réflexions quand un barrage surprise s’est présenté devant nous ! Quatre à cinq hommes en uniformes de type militaire, fusils, mitraillettes, et révolvers à la ceinture et très vieilles voitures nous ont arrêtés. J’étais au volant. Ambiance !! J’ai ouvert au trois quart ma vitre et il s’en ai suivi un dialogue de ce type :

Eux : Eteignez le moteur, descendez de la voiture et ouvrer le coffre
Nous : Avez-vous une carte de police
Eux : Eteignez le moteur
Nous (entre nous) Garde la première enclenchée et prépare toi à partir.
Eux voyant mon plus bel air bovin ne comprenant rien d’autre que mon français natal : Papier
Benoît à sortie les papiers de la voiture (à jour pour une fois !) et a commencé à leurs parler en portugais.
L’atmosphère c’est détendue un petit peu, ils ont parlé avec Benoît et on demandé si j’étais américain ! Rire de nous deux, et atmosphère beaucoup plus détendue après. Il faut dire Que nous étions dans l’état du Pernambuco, réputé pour ses plantations d’herbes illicites.

Du coup, ils n’ont même pas demandé mes papiers, ni mon permis de conduire et se sont fait confirmer que nous ne détenions pas d’armes. Conclusion, une promesse de caipi pour le soir !!

Nous pension en avoir terminé pour, cette journée, mais non, il nous restait à parcourir 80 kilomètres de routes super défoncée. C’est plus des routes, ce n’est pas des pistes, c’est le réseau routier après les bombardements en France. Je n’ai jamais vu cela. Pour ceux qui le désir, il y aura des photos à ne pas louper.

Enfin je ne peux passer sous silence notre arrivée à l’hôtel Blue Three Towers (3 étoiles – équivalent à un 4 étoiles en France)
Imaginez deux mecs en shorts et maillots, en sueurs, débarquant dans une espèce de djeep salle devant la porte avec groom et concierge qui laissent leur voiture devant l’entrée et qui se dirigent au desk pour demander un chambre à deux lits avec vue sur mer ! Eh bien c’est nous. Mais imaginez la tête du chasseur lorsque j’ai ouvert la voiture pour extirper nos sacs à dos, les sacs plastics avec le linge salle, les chaussures boueuses et que j’ai mis tout cela sur le chariot rutilant de l’hôtel pour monter nos affaires dans la chambre. Ah que d’instant savoureux quand même. Nous avons même laissé les clefs pour qu’il gare notre voiture. Depuis tous les chauffeurs de taxi rodent autour. C’est bon la célébrité !!

Mais le plus beau reste à venir. Nous avons testez la piscine située au dernier étage. Imaginez toujours Benoît et Claude en slip de bain, pieds nus et avec les serviettes, qui monte au 8 ème étage, se baignent et dégoulinant d’eau décident de se rendre au 5 ème étage pour aller au sauna. Bon là une petite explication s’impose. Ici dans cet hôtel, le 5ème c’est …. la réception. Donc nous voilà à moitié à poil dans le hall de l’hôtel, toujours plei d eau, en train de chercher le sauna. Pour la première fois de ma vie, j’ai vu Benoît avoir honte (oui, oui ça existe !) et vouloir remonter de suite dans la chambre, le rouge aux joues. Grande victoire de Claude sur Benoît !!!

Bon, maintenant je vous quitte, je vais prendre un gros petit déjeuné et nous partons visiter Salvador de Bahia (un article complet est nécessaire sur cette ville, je vous promets de le mettre en ligne avant mon départ demain pour Vitoria si le dieu Internet le permet)

1.1.06

BONNE ANNEE 2006

Je vous souhaite une très bonne année 2006 Felis ano novo no brasil !

J'ai passé le cap 2005/2006, les pieds dans l'eau a regarder les feux d'artfices d'un bout à l'autre e la plage (5 kilomètres de plage quand même).

Après je me suis baigné dans une mer calme et chaude.

Moment étonnant pour un jour de l'an !

Beaucoup de brésilien étaient habillés de blanc et se sont dirigés vers la mer (en marée basse) pour jeter des fleurs et faire un voeux.

Je viens de finir mes bagages, nous partons dans quelques quarts d'heure si la famille Bernier est reveillée.

A tous ceux que je n'ai pas eu cette nuit (répondeur ou lignes saturées) et à ceux dont j'ai été content d'entendre leurs voix au téléphone, je vous embrasse tous et encore une fois FELIS ANO NOVO DA BRASIL !

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